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TÉMOIGNAGE DE VINCENT DAUDELIN, COURTIER IMMOBILIER, MEMBRE DE BUROLOFT

TÉMOIGNAGE DE VINCENT DAUDELIN, COURTIER IMMOBILIER, MEMBRE DE BUROLOFT

Un risque calculé et contre-intuitif

Il y a environ 2 ans, je pratiquais mes activités professionnelles à partir d’un bureau qui m’était offert gratuitement par une connaissance. J’y étais relativement bien et les vacances de Noël approchaient. Tous les mois de décembre, je me garde du temps pour faire une introspection sur mon entreprise et songer à des façons d’avancer : améliorer mon offre, augmenter les revenus, diminuer les dépenses, gagner plus de liberté, prendre mieux soin de moi, maintenir l’équilibre, etc.

Et si…

Et si je changeais d’environnement ? Est-ce que ça pourrait avoir un impact positif sur mon entreprise? Le bureau que j’avais était gratuit alors pourquoi passer d’une solution gratuite à une solution payante? N’est-ce pas un peu contre-intuitif? Et pourtant, j’ai tendance à évaluer chaque idée, comme une opportunité d’investissement. Souvent, je remarque que les gens ne considèrent pas tous les facteurs et font des erreurs de jugement; « Le bureau A est gratuit, le bureau B coûte 500$/mois donc le bureau A est mieux ». On oublie parfois de regarder « Oui, mais le bureau B me donne quoi que A ne me donne pas? ». Bien que mon bureau me convenait et qu’il n’était pas une dépense, je remarquais aussi qu’il était purement fonctionnel. Est-ce qu’un bureau peut devenir plus que fonctionnel ? Pourrait-il amener une nouvelle énergie par exemple? Je me suis demandé : « Et si j’allais dans un espace de coworking, est-ce que ce changement d’environnement serait bénéfique ? Ma productivité serait-elle améliorée? Est-ce que ça me rapporterait de nouveaux clients ? Est-ce que j’apprendrais de nouvelles choses? En émergerait-il de nouveaux partenariats? » J’avais le sentiment que : « Peut-être que oui, peut-être que non ». Et pour le savoir, il n’y avait qu’une possibilité : l’essayer. J’ai donc fait le « saut », ayant l’intuition que ça pourrait être bénéfique, mais sans en avoir la certitude. J’ai arrêté mon choix sur Buroloft et signé un bail d’un an.

Mes collègues de bureau gratuit étaient un peu surpris de me voir faire ce choix un peu contre-intuitif. J’ai demandé, un peu comme, Jerry Meguire «Who’s coming with me? » (avec un peu moins de drama par contre) … et comme dans le film : silence total.

Je me suis installé et sans effort, j’ai peu à peu rencontré les autres entrepreneurs de Buroloft. On me demandait ce que je faisais et je retournais la question. Mon objectif n’était pas de rechercher des opportunités d’affaires, mais surtout d’observer, de faire connaissance et de
découvrir.

Et pourtant…

Tout de suite, je dois vous dire que j’ai été surpris par l’énergie qui régnait dans ce bel endroit. Les gens sont des professionnels dévoués et c’est inspirant. Déjà, je sentais que j’avais une nouvelle énergie et que j’avais envie de passer plus de temps ici. Les premiers jours venaient de passer et je m’étais déjà lié d’amitié avec des comptables, des ingénieurs, des avocats, des designers, des créateurs, des geeks du web, et d’autres personnalités tous plus intéressantes les unes que les autres. Les gens sont venus me voir assez vite pour me demander des conseils sur l’immobilier et je suis allé les voir pour des questions sur la comptabilité, le droit, le design et d’autres questions de geek… Puis, sans le rechercher, certains ont eu confiance en moi et m’ont confié des mandats : vendre un condo, trouver une maison, évaluer un penthouse, trouver une solution de financement à tel problème, aider à résoudre une situation de succession, louer un local, etc. Bref, après 6 mois, j’ai additionné les nouveaux revenus découlant de mon changement d’environnement et j’ai constaté que mon loyer était payé pour les 5 prochaines années par les nouvelles opportunités d’affaires qui se sont présentées naturellement à moi.

Demandez-moi si c’était une bonne idée de faire le saut contre-intuitif chez Buroloft maintenant que ça fait deux ans que j’y suis…